Le Bitcoin, cette fameuse cryptomonnaie qui fait tant parler d'elle, semble avoir pris des cours intensifs de saut en parachute… sans parachute. Hier encore, il touchait les étoiles à 40 000 dollars, et aujourd'hui, il gratte les fonds de canapé à 12 000 dollars. Un véritable ascenseur émotionnel pour les investisseurs, ou devrions-nous dire les « cryptoptimistes ».

« Diamond Hands ! » crient les adeptes convaincus, tout en regardant leur portefeuille fondre plus vite qu'un glaçon au soleil. Pendant ce temps, d'autres, moins patients, bradent leurs Bitcoins sur Leboncoin : « Vend Bitcoin, jamais servi, fait un peu la tronche. Prix à débattre.»

Les experts financiers, ces oracles modernes, rivalisent de théories. L'un affirme que le Bitcoin atteindra bientôt 100 000 dollars (parce que pourquoi pas), tandis qu'un autre prédit un retour à zéro, argumentant que « les pyramides de Ponzi ont toujours une fin ». La vérité, c’est que personne ne sait vraiment, mais tout le monde aime donner son avis – un peu comme au débat du dernier repas de famille.

Et les médias dans tout ça ? Ils ne sont pas en reste ! Entre les gros titres annonçant la « fin du Bitcoin » et ceux prédisant « une révolution monétaire imminente », il est difficile de savoir si l’on doit acheter, vendre ou simplement regarder le chaos avec un bol de popcorn. Pendant ce temps, l’Ethereum, le petit cousin, tente de se faire une place au soleil, mais finit souvent par prendre un coup de vent venu du Bitcoin et se retrouve à terre.

Du côté des réseaux sociaux, les mèmes mèmes continuent de fleurir. Une des blagues populaires en ce moment : « Pourquoi le Bitcoin traverse-t-il la route ? Pour rejoindre les traders en PLS de l’autre côté !».

Alors, où va le Bitcoin ? Vers la lune, comme disent les optimistes ? Ou bien droit dans le mur, comme le craignent les sceptiques ? Ce qui est sûr, c’est que cette monture sauvage ne manque jamais d’offrir un bon spectacle. Attachez vos ceintures et gardez votre humour à portée de main, car dans le monde des cryptos, la seule constante, c’est l’imprévisible.