Le gouvernement déploie des licornes anti-drogue pour contrer le trafic
Dans un tournant éclatant de la lutte contre le trafic de drogue, le gouvernement a annoncé hier une mesure révolutionnaire : l’intégration de licornes dans les forces de sécurité nationale. Ces majestueuses créatures — qui, jusqu'à présent, n'étaient qu’un doux rêve des amateurs de contes de fées — sont désormais au cœur de la stratégie anti-drogue.
Une idée venue d'ailleurs
À l'origine de cette idée novatrice se trouve le ministre de l’Intérieur, passionné de licornologie et convaincu que « la magie est la seule force capable de dépasser la ruse des trafiquants ». Selon lui, les licornes possèdent un flair inégalé pour repérer les substances illicites et leur corne scintillante peut émettre une alarme lumineuse lorsqu'elles sont en présence de drogue.
Un entrainement éprouvant
Pour préparer ces créatures à leurs nouvelles fonctions, des écuries high-tech ont été érigées dans les campagnes. Là, les licornes suivent un entraînement intensif : saut d’obstacles constitués de sachets de farine, poursuite de contrebandiers à dos de scooters et même des simulations d’interventions nocturnes sous des lumières disco pour s’habituer à toutes les situations possibles.
Des résultats prometteurs
Lors d’une première mission pilote, une licorne baptisée Sparklehooves a permis l’arrestation d’un réseau de trafiquants caché dans une cave transformée en champ de champignons hallucinogènes. « J’ai vu la licorne briller comme jamais, et les malfaiteurs n’ont pas eu d’autre choix que de se rendre. C’était magique », raconte un agent sous couvert d’anonymat.
Les critiques fusent
Malgré l’enthousiasme affiché par les autorités, certains experts expriment des réserves. « En termes de coûts, chaque licorne représente un investissement équivalent à trois hélicoptères », souligne un économiste sceptique. D’autres critiquent le fait que les licornes semblent plus attirées par les sucreries des enfants que par les substances illégales.
Une stratégie d’avenir ?
Pourtant, le gouvernement reste persuadé que cette approche avant-gardiste inspirera d’autres nations. « Demain, ce ne seront plus des chiens, mais des licornes qui patrouilleront nos frontières. La féérie est notre meilleure arme », a déclaré le ministre, des étoiles dans les yeux. Affaire à suivre…