Dans une annonce qui a surpris même les plus cyniques, le gouvernement français a dévoilé sa nouvelle réforme des retraites, permettant aux citoyens de travailler jusqu’à l’âge de… 120 ans. Une initiative qualifiée de “révolutionnaire” par certains, et de “complètement folle” par tout le reste de la population.

Le ministre du Travail, visiblement ravi de cette idée, a déclaré : “Nous voulons offrir aux Français une opportunité unique : travailler plus pour vivre mieux. À 120 ans, vous aurez acquis suffisamment d’expérience pour enfin profiter pleinement de votre retraite. Imaginez une vie de passion, d’action, et d’aventure… dans votre maison de repos, bien sûr.”

Des avantages… douteux
Selon les économistes proches du gouvernement, cette réforme vise à équilibrer les caisses de retraite tout en stimulant l’économie : “Les seniors de demain seront la colonne vertébrale de notre société. Entre 100 et 120 ans, ils pourront occuper des postes stratégiques, comme testeurs de cannes connectées ou influenceurs sur TikTok Sénior.”

Cependant, une autre mesure fait grincer des dents : les salariés devront courir un marathon chaque année pour prouver leur aptitude au travail. “Un effort raisonnable”, selon le ministre des Sports, qui promet une réduction d’impôts pour ceux qui franchissent la ligne d’arrivée sans assistance respiratoire.

L’opposition entre scepticisme et humour noir
De l’autre côté de l’échiquier politique, l’opposition a dénoncé une réforme “inhumaine”. Jean-Luc Mélantruc a déclaré : “Bientôt, on nous demandera de cotiser depuis la maternelle !” Marine Le Plein, elle, a proposé une retraite garantie à 50 ans… mais uniquement pour ceux capables de tricoter un drapeau français en 24 heures chrono.

Les Français mitigés… mais résignés
Dans la rue, les avis sont partagés : “À 120 ans, si je peux encore jouer à la belote, c’est déjà une victoire,” plaisante Gisèle, 98 ans.

Les débats promettent d’être animés… mais une chose est sûre : les fabricants de déambulateurs se frottent déjà les mains.