Une loi révolutionnaire : Les députés votent l'obligation de sourire en public !
Paris – Une Assemblée Sous Tension
Ce jeudi, dans une ambiance électrique digne des grands jours, l’Assemblée nationale a adopté une loi inédite qui fera sourire … au sens propre comme au figuré ! Désormais, tous les citoyens français devront arborer un sourire lorsqu’ils se trouvent dans l’espace public, sous peine de sanctions. Une réforme qui divise déjà les rangs politiques et fait débattre sur les réseaux sociaux.
Un Texte Ambitieux (et un peu tiré par les cheveux)
La loi, sobrement intitulée « Obligation de Manifestation Faciale Positive » (OMFP), a été présentée par le député Jean-Gaston Réjouissant, connu pour son enthousiasme à toute épreuve. « Nous vivons une période sombre, entre crises économiques, écologiques et pandémiques. Il est temps de redonner de la lumière à nos visages et de montrer que nous sommes un peuple résilient et positif ! » a-t-il déclaré sous les applaudissements (et quelques ricanements) de ses collègues.
Le texte prévoit que tout citoyen pris sur le fait de ne pas sourire dans les espaces publics pourra être interpellé par une nouvelle brigade spéciale : les « agents du bonheur ». Les contrevenants s’exposent à une amende symbolique de 5 euros, accompagnée d’une distribution obligatoire de bonbons.
Un Débat Animé
Comme on pouvait s’y attendre, la loi OMFP a suscité des réactions partagées. Députés et citoyens n’ont pas tardé à se faire entendre.
Dans les rangs de l’opposition, le député Bertrand Morosix a fustigé une « atteinte inacceptable aux libertés fondamentales ». « Bientôt, on nous imposera de danser la carioca avant de traverser aux passages piétons ! » s’est-il exclamé, provoquant des rires dans l’hémicycle.
De leur côté, les partisans de la loi préfèrent parler d’évolution sociétale. « Regardez le Japon ou les États-Unis, où sourire fait partie de la culture ! Nous avons tout à y gagner en termes de cohésion sociale et d’économie du bien-être, » a argumenté la députée Sophie Bonenfant, avant d’avouer qu’elle avait dû consulter un ostéopathe après avoir forcé son sourire pendant deux heures consécutives.
Des Conséquences Inattendues
La nouvelle a également inspiré une avalanche de mêmes et de parodies sur les réseaux sociaux. Des internautes se sont empressés de créer des tutos intitulés « Comment sourire sans crampe» ou « Les meilleures excuses pour échapper à l’OMFP ».
À Marseille, un boulanger prévoyant a déjà inventé la « baguette du bonheur », une baguette moulée en forme de sourire. À Paris, des étudiants en sociologie préparent un documentaire intitulé : « Le sourire forcé, nouveau mal du siècle ? ».
De leur côté, les dentistes applaudissent : « Les Français prendront enfin soin de leurs dents ! » jubile le Dr. Molar, président du Syndicat national des chirurgiens-dentistes.
Une Loi Qui Va Au-Delà des Frontières
Certains pays voisins regardent cette loi avec amusement et curiosité. L’Italie envisage d’instaurer une variante avec des gestes de main obligatoires, tandis que la Suisse préfère attendre pour évaluer « la viabilité financière d’un sourire national ».
En revanche, certains experts s’interrogent sur la faisabilité du projet. « Que faire des gens atteints de resting bitch face ? Sont-ils condamnés à vivre en exil ? » demande une sociologue perplexe.
Et Maintenant ?
La loi entrera en vigueur le 1er avril prochain (une date qui en a fait sourire plus d’un, pour des raisons évidentes). En attendant, les Français sont invités à se familiariser avec leurs muscles zygomatiques. Des « ateliers du sourire » gratuits seront organisés dans les mairies et les écoles.
« Le sourire est la meilleure arme contre les problèmes de la vie. C’est un projet pour l’avenir, un projet pour l’éternité ! » a conclu Jean-Gaston Réjouissant lors de son discours final, les larmes aux yeux.
Alors, prêts à montrer vos dents ?